Candidat à la mairie du Plateau-Mont-Royal
Qui suis-je?
Je me décris comme un citoyen engagé portant des valeurs sociales et environnementales très ancrées et affirmées. J’habite sur le Plateau depuis mon arrivée à Montréal à l’âge de 18 ans comme étudiant en science politique. Depuis ce temps, à part le Plateau, j’ai habité quelques années dans Rosemont, deux ans à Paris, six mois à Porto Alegre (Brésil) et six mois à Bamako (Mali). Je suis père de deux enfants inscrits à l’École Jeanne-Mance. Au cours des 25 dernières années, j’ai cumulé plusieurs expériences qui m’ont permis d’approfondir mes connaissances des enjeux urbains et de développer des compétences en gestion pertinentes à la fonction de maire du Plateau.
J’ai œuvré à titre d’organisateur communautaire en CLSC pendant près de 10 ans. J’ai dirigé le Centre d’écologie urbaine de Montréal pendant 6 ans. Alors que je réalisais un projet familial de séjour d’une année à Paris, j’ai accepté de prendre la direction de Communauto France. J’y suis resté deux ans, ce qui m’a permis de visiter de nombreuses capitales européennes qui m’inspirent aujourd’hui (Berlin, Londres, Lisbonne, Barcelone, Amsterdam, Copenhague, etc.).
Depuis cinq ans, je travaille en développement économique. J’ai assuré la direction générale de la Corporation de développement économique communautaire (CDEC) Centre-sud/Plateau-Mont-Royal devenue par la suite PME MTL. Depuis avril 2016, j’assume la direction du développement stratégique à la Caisse d’économie solidaire Desjardins, une caisse engagée, spécialisée en investissement responsable et en financement des entreprises collectives, notamment en habitation communautaire. J’y suis responsable des relations avec les partenaires de l’économie sociale et les mouvements sociaux, de l’innovation, des communications et des relations internationales.
Je m’intéresse aussi à la démocratie municipale, particulièrement la démocratie participative. J’ai écrit des articles sur le sujet démontrant l’impact positif de la démocratie participative sur la justice sociale. J’ai publié le livre Démocratiser la ville chez Lux Éditeurs. Côté académique, en plus d’une Maitrise en science politique, je détiens un Diplôme d’études supérieures spécialisées (2e cycle) en développement économique communautaire.
Quels sont mes appuis?
J’ai reçu un accueil positif du caucus des élu-e-s du Plateau. Alex, Marianne et Richard, qui me connaissent depuis longtemps, m’ont offert leur appui. J’ai rencontré récemment Marie et Josefina, deux élues passionnées et engagées avec qui je partage la volonté d’aller encore plus loin en matière d’aménagement et de lutte aux changements climatiques.
J’ai aussi obtenu plusieurs appuis externes, dont ceux de :
- Laure Waridel, écologiste
- Amir Khadir, ex-député QS de Mercier
- François Saillant, militant pour le droit au logement
- Nancy Neamtan, fondatrice et ex-DG du Chantier de l’économie sociale
- Dominic Champagne, artiste engagé dans la lutte aux changements climatiques
- Nimâ Machouf, élue de Projet Montréal en 2009 et candidate NPD fédéral
- Karel Mayrand, écologiste
- Jayne Engle, ancienne complice au Centre d’écologie urbaine
- Glenn Castanheira, expert des enjeux relatifs aux commerces indépendants
- Vincent Chapdelaine, créateur de plusieurs entreprises collectives dans le Plateau
Je remercie chaleureusement toutes ces personnes qui me connaissent bien pour leur appui et surtout, pour leur confiance.
Pourquoi je me présente à la mairie du Plateau?
La démission de Luc Ferrandez m’a ébranlé, comme plusieurs d’entre nous, issus des milieux écologistes, de la justice sociale et de l’économie sociale. Depuis 25 ans, je m’intéresse aux enjeux urbains, toujours du côté des organisations qui tentent d’influencer les politiques publiques, mais en étant conscient que nous avons besoin de relais politiques pour prendre les décisions qui s’imposent. J’ai souvent été déçu et j’ai longtemps pensé que la politique partisane et le travail d’élu n’étaient pas pour moi. J’ai toujours préféré que d’autres fassent ce boulot ingrat, générateur de déceptions et de critiques souvent virulentes, particulièrement à notre époque de médias sociaux.
J’ai toujours cru que la ville et ses quartiers représentaient l’échelle des possibles pour une réelle transition vers une société plus juste et plus écologique. L’élection de Projet Montréal à la tête de la Ville de Montréal offre toute une occasion de changer les choses, en profondeur, pour nous assurer que toutes et tous, avec des enfants ou pas, peu importe leur revenu ou leur origine, puissent habiter, étudier, travailler et bien vivre dans une ville verte à échelle humaine.
Pour être clair, le temps des demi-mesures est, selon moi, terminé. On ne peut plus faire comme si on ne savait pas que nous faisons face à une crise environnementale. Les choses doivent changer radicalement et le Plateau est un excellent territoire pour innover et démontrer ce qu’il est possible de faire localement. Luc Ferrandez et son équipe ont fait œuvre de défrichage. La population du Plateau est certainement davantage prête qu’ailleurs à ce que les décisions nécessaires et courageuses se prennent dès maintenant, à les accepter et à changer ses habitudes en conséquence. La demande est forte du côté des citoyen-ne-s qui ont déjà confirmé deux fois leur appui à l’équipe de Projet Montréal, des appuis toujours plus forts à chaque élection, donc le cap est clair et il est à maintenir.
On ne règlera pas la crise climatique à nous tous seuls sur le Plateau, mais on y contribuera le plus possible, pour nous, pour nos enfants et pour leurs petits-enfants. Ça nous demandera un effort, ça nous causera parfois des désagréments, mais si nous avons la conviction profonde de faire ce qu’il faut pour nos enfants, je suis certain que nous serons d’accord pour le faire et que nous saurons leur expliquer nos choix. Dans le cas contraire, il faudra bien leur avouer pourquoi nous n’avons pas eu le courage d’agir quand il était encore temps.
Après 25 ans d’engagement non-partisan, j’ai choisi de faire le pari que je pourrai influencer davantage le cours des choses en assumant les fonctions de maire du Plateau au sein de l’équipe de Projet Montréal. Je crois que le temps est venu pour moi de consacrer quelques années à cette noble et exigeante responsabilité publique au service de l’intérêt collectif.
Je m’engage à donner le meilleur de moi-même, je ne peux pas faire plus.
Luc Rabouin
Candidat à la mairie du Plateau-Mont-Royal
Qui suis-je?
Je me décris comme un citoyen engagé portant des valeurs sociales et environnementales très ancrées et affirmées. J’habite sur le Plateau depuis mon arrivée à Montréal à l’âge de 18 ans comme étudiant en science politique. Depuis ce temps, à part le Plateau, j’ai habité quelques années dans Rosemont, deux ans à Paris, six mois à Porto Alegre (Brésil) et six mois à Bamako (Mali). Je suis père de deux enfants inscrits à l’École Jeanne-Mance. Au cours des 25 dernières années, j’ai cumulé plusieurs expériences qui m’ont permis d’approfondir mes connaissances des enjeux urbains et de développer des compétences en gestion pertinentes à la fonction de maire du Plateau.
J’ai œuvré à titre d’organisateur communautaire en CLSC pendant près de 10 ans. J’ai dirigé le Centre d’écologie urbaine de Montréal pendant 6 ans. Alors que je réalisais un projet familial de séjour d’une année à Paris, j’ai accepté de prendre la direction de Communauto France. J’y suis resté deux ans, ce qui m’a permis de visiter de nombreuses capitales européennes qui m’inspirent aujourd’hui (Berlin, Londres, Lisbonne, Barcelone, Amsterdam, Copenhague, etc.).
Depuis cinq ans, je travaille en développement économique. J’ai assuré la direction générale de la Corporation de développement économique communautaire (CDEC) Centre-sud/Plateau-Mont-Royal devenue par la suite PME MTL. Depuis avril 2016, j’assume la direction du développement stratégique à la Caisse d’économie solidaire Desjardins, une caisse engagée, spécialisée en investissement responsable et en financement des entreprises collectives, notamment en habitation communautaire. J’y suis responsable des relations avec les partenaires de l’économie sociale et les mouvements sociaux, de l’innovation, des communications et des relations internationales.
Je m’intéresse aussi à la démocratie municipale, particulièrement la démocratie participative. J’ai écrit des articles sur le sujet démontrant l’impact positif de la démocratie participative sur la justice sociale. J’ai publié le livre Démocratiser la ville chez Lux Éditeurs. Côté académique, en plus d’une Maitrise en science politique, je détiens un Diplôme d’études supérieures spécialisées (2e cycle) en développement économique communautaire.
Quels sont mes appuis?
J’ai reçu un accueil positif du caucus des élu-e-s du Plateau. Alex, Marianne et Richard, qui me connaissent depuis longtemps, m’ont offert leur appui. J’ai rencontré récemment Marie et Josefina, deux élues passionnées et engagées avec qui je partage la volonté d’aller encore plus loin en matière d’aménagement et de lutte aux changements climatiques.
J’ai aussi obtenu plusieurs appuis externes, dont ceux de :
- Laure Waridel, écologiste
- Amir Khadir, ex-député QS de Mercier
- François Saillant, militant pour le droit au logement
- Nancy Neamtan, fondatrice et ex-DG du Chantier de l’économie sociale
- Dominic Champagne, artiste engagé dans la lutte aux changements climatiques
- Nimâ Machouf, élue de Projet Montréal en 2009 et candidate NPD fédéral
- Karel Mayrand, écologiste
- Jayne Engle, ancienne complice au Centre d’écologie urbaine
- Glenn Castanheira, expert des enjeux relatifs aux commerces indépendants
- Vincent Chapdelaine, créateur de plusieurs entreprises collectives dans le Plateau
Je remercie chaleureusement toutes ces personnes qui me connaissent bien pour leur appui et surtout, pour leur confiance.
Pourquoi je me présente à la mairie du Plateau?
La démission de Luc Ferrandez m’a ébranlé, comme plusieurs d’entre nous, issus des milieux écologistes, de la justice sociale et de l’économie sociale. Depuis 25 ans, je m’intéresse aux enjeux urbains, toujours du côté des organisations qui tentent d’influencer les politiques publiques, mais en étant conscient que nous avons besoin de relais politiques pour prendre les décisions qui s’imposent. J’ai souvent été déçu et j’ai longtemps pensé que la politique partisane et le travail d’élu n’étaient pas pour moi. J’ai toujours préféré que d’autres fassent ce boulot ingrat, générateur de déceptions et de critiques souvent virulentes, particulièrement à notre époque de médias sociaux.
J’ai toujours cru que la ville et ses quartiers représentaient l’échelle des possibles pour une réelle transition vers une société plus juste et plus écologique. L’élection de Projet Montréal à la tête de la Ville de Montréal offre toute une occasion de changer les choses, en profondeur, pour nous assurer que toutes et tous, avec des enfants ou pas, peu importe leur revenu ou leur origine, puissent habiter, étudier, travailler et bien vivre dans une ville verte à échelle humaine.
Pour être clair, le temps des demi-mesures est, selon moi, terminé. On ne peut plus faire comme si on ne savait pas que nous faisons face à une crise environnementale. Les choses doivent changer radicalement et le Plateau est un excellent territoire pour innover et démontrer ce qu’il est possible de faire localement. Luc Ferrandez et son équipe ont fait œuvre de défrichage. La population du Plateau est certainement davantage prête qu’ailleurs à ce que les décisions nécessaires et courageuses se prennent dès maintenant, à les accepter et à changer ses habitudes en conséquence. La demande est forte du côté des citoyen-ne-s qui ont déjà confirmé deux fois leur appui à l’équipe de Projet Montréal, des appuis toujours plus forts à chaque élection, donc le cap est clair et il est à maintenir.
On ne règlera pas la crise climatique à nous tous seuls sur le Plateau, mais on y contribuera le plus possible, pour nous, pour nos enfants et pour leurs petits-enfants. Ça nous demandera un effort, ça nous causera parfois des désagréments, mais si nous avons la conviction profonde de faire ce qu’il faut pour nos enfants, je suis certain que nous serons d’accord pour le faire et que nous saurons leur expliquer nos choix. Dans le cas contraire, il faudra bien leur avouer pourquoi nous n’avons pas eu le courage d’agir quand il était encore temps.
Après 25 ans d’engagement non-partisan, j’ai choisi de faire le pari que je pourrai influencer davantage le cours des choses en assumant les fonctions de maire du Plateau au sein de l’équipe de Projet Montréal. Je crois que le temps est venu pour moi de consacrer quelques années à cette noble et exigeante responsabilité publique au service de l’intérêt collectif.
Je m’engage à donner le meilleur de moi-même, je ne peux pas faire plus.
Luc Rabouin